SNAPCHAT : CONSEILS POUR DES CAMPAGNES RÉUSSIES

Comment communiquer sur Snapchat quand on est une marque ? Influence4you dévoile quelques conseils…

Les marques ont déjà bien intégré Instagram à leurs plans de communication. Prochaine étape : Snapchat !

 

Quelques chiffres

En décembre 2015, Snapchat a enregistré 7 milliards de vidéos vues par jour (contre 8 milliards pour Facebook), un chiffre qui a plus que triplé depuis le mois de mai.

Pourtant, seuls 9% des possesseurs de smartphone utilisent Snapchat (contre 97% pour Facebook). Et si l’on cible les jeunes de 12 à 15 ans, 53% d’entre eux utilisent le réseau social, qui arrive alors en quatrième position derrière YouTube, Facebook et Instagram.

Si l’attrait des plus jeunes n’est plus à prouver, pour les marques c’est un peu plus compliqué.

 

Contraintes techniques

Contrairement à d’autres réseaux sociaux, Snapchat ne permet pas d’intégrer des liens, ce qui peut poser problème quand on souhaite promouvoir un service ou vendre un produit. Les statistiques disponibles sont, pour le moment, très basiques (voire inexistantes). S’il est possible de voir le nombre de vues sur un snaps, les chiffres ne sont pas sauvegardés et il n’y aucune donnée indiquant si le post a été vu dans son intégralité. Il est donc compliqué de connaître la performance d’une campagne.

Il n’est pas non plus possible de savoir quelle est l’étendue d’une communauté, puisqu’il est impossible de savoir combien de personnes suivent un compte.

Enfin, la viralisation d’un snap est difficile, puisqu’il n’est pas poissible de les retransmettre.

 

Autres difficultés

Snapchat est un média très personnel, il peut donc être difficile pour les marques de s’y positionner. Le réseau ne se contrôle que sur mobile, ce qui peut être compliqué à gérer pour un community manager. Si la force de Snapchat est sa spontanéité, elle peut aussi être un frein pour certaines entreprises.

Puisque les statistiques sont limitées, il est difficile de savoir quels sont les snapchatteurs vraiment influents.

 

Comment bien animer un compte Snapchat d’entreprise ?

Il y a deux notions à garder à l’esprit : le contenu et le recrutement de followers.

 

Contenu

Il faut avant tout définir une ligne éditoriale propre, et accepter de montrer certains apsects personnels, voire intimes de l’entreprise. Il faut aussi choisir un rythme de publication. Puisqu’une story ne dure que 24h, le rythme doit être régulier (3 ou 4 publications par jour).

Il est évidemment possible de faire du commercial sur Snapchat : en postant une image avec un code promo, par exemple. Snapchat permet aussi de savoir combien de captures d’écrans auront été faites, ce qui reste une information utile. Attention toutefois : l’opération ne doit rester qu’exceptionnelle et être réservée aux followers Snapchat.

 

Recrutement

L’un des inconvénients de Snapchat est que l’on ne peut s’abonner qu’à des comptes que l’on connaît, ce qui implique de faire connaître son nom d’utilisateur pour fédérer une communauté.

Il est impératif d’ajouter son nom d’utilisateur et son snapcode sur ses autres réseaux sociaux, signature d’e-mails, site web… Quitte à en faire la promo via des tweets ou des posts Facebook. Il ne faut pas hésiter à faire des campagnes de recrutement… de manière créative ! Jeux concours, interviews exclusives,…

 

Marketing d’influence

En faisant appel à des Snapchatteurs influents, une marque aura moins besoin de passer du temps à recruter ses amis. Pour les identifier, c’est plus compliqué, puisqu’il n’existe pas de statistiques externes.

La première chose à faire est d’identifier des influenceurs pertinents (par exemple : des YouTubeurs), voir s’ils ont aussi pertinents sur Snapchats, et leur demander des stats (nombre de vues habituel sur les Stories). Plusieurs types d’actions sont ensuite possibles pour promouvoir une marque ou un service : l’inviter à un événement, lui demander de relayer l’image d’un produit, relayer un code promo, faire interagir sa communauté,…

 

Snapchat est un média qui continue de croître, et s’adresse à une cible parfois peu évidente à atteindre : les moins de 20 ans. A vos marques !

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Des vertèbres en 3D implantées chez un patient australien

Les vertèbres ont été conçues en 3D et cette pratique révolutionnaire a eu le mérite de sauver un sexagénaire. Cette prouesse médicale a été obtenue en Australie et elle prouve que l’imprimante 3D est vraiment un bijou de technologie.

L’imprimante 3D relève un nouveau défi pour un homme de 60 ans

Si le secteur du high-tech est passionné par l’imprimante 3D, elle a une utilité avérée dans le monde médical. Cette fois, ce sont des vertèbres qui ont été imprimées avec ce procédé et auparavant une multitude d’histoires ont montré les mérites d’un tel appareil. Des enfants ont pu être sauvés par de petits bouts de plastiques qui avaient une importance capitale, d’autres ont conçu des prothèses à bas coût pour permettre à des blessés de goûter de nouveau aux joies de la vie. Il y a quelques jours, une opération à cerveau ouvert s’est même déroulée avec des lunettes 3D et cela montre que l’univers high-tech donne des possibilités importantes aux chirurgiens et autres professionnels de la santé.

Des vertèbres cancéreuses et supprimées après 15 heures de chirurgie

Cette prouesse mondiale est unique et elle est également prometteuse. Un homme âgé de 60 ans avait un problème de santé très inquiétant puisque des vertèbres étaient cancéreuses. Les chirurgiens devaient les supprimer, mais comment les remplacer ? Ils ont donc décidé d’utiliser une imprimante 3D pour imprimer ces prothèses, car ils ne voulaient pas avoir recours à des implants. Pendant une lourde opération qui a demandé 15 heures de travail, les chirurgiens ont pu les implanter au niveau de la colonne vertébrale du patient et lui sauver ainsi la vie.

De nouvelles vertèbres en 3D et en titane

Grâce à l’imprimante 3D, il est possible d’obtenir des produits sur mesure et il fallait que les nouvelles vertèbres s’emboitent parfaitement dans cette colonne. Cette opération est également le fruit d’une réelle collaboration avec d’un côté la société Anatomics qui s’est chargée d’imprimer les vertèbres en 3D avec du titane et de l’autre, il y a l’équipe de chirurgiens de l’hôpital Prince of Wales installé à Sydney qui a effectué une prouesse.

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Exclusif : les hypers Auchan encore à la peine en 2015

Linéaires s’est procuré le chiffre d’affaires des hypermarchés Auchan France pour l’année 2015. Les ventes accusent un fort recul, que le succès des drives ne parvient pas à compenser.

Sur le seul périmètre des hypers et hors carburants, le CA accuse une baisse de 2,8%, selon nos informations. Les ventes d’Auchan Drive, déjà publiées sur le blog d’Olivier Dauvers, sont en progression de 10%. Ce qui par consolidation donne pour le parc Auchan une perte de l’ordre de 2,2%.

Ce résultat n’est pas une surprise au regard de la part de marché du groupe, elle aussi sur une pente descendante.

Il confirme également qu’Auchan n’en a toujours pas fini avec ses « années noires ». Les ventes avaient chuté de 2,6% en 2013, puis de 1,2% en 2014. Avec – 2,2% en 2015, les hypers Auchan accusent donc encore durement le coup (même si un premier semestre déjà publié à – 3,2% laissait augurer un pire résultat).

 

Redressement de la marge

Toujours selon nos informations, en revanche, le distributeur aurait réussi, sur son format de prédilection, à redresser sa marge en France. Il faut dire qu’en 2015, Auchan a pu tirer les fruits de son alliance aux achats avec Système U et profiter des effets de son plan d’économie lancé en 2014 (incluant notamment la suppression de 800 postes d’encadrement en hypers).

Au premier semestre 2015, déjà, le distributeur s’était félicité d’une progression de sa marge commerciale et de son résultat d’exploitation courant en France.

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