Les chariots mouchards i-beacon de Carrefour : une grande idée pour étudier le shopper 

Les chariots e-beacon de Carrefour : une grande idée pour étudier le parcours clients dans ces magasins. 

Les technologies wifi, bluetooth et ultrason arrivent en masse dans la mesure de performance en magasin, l’optimisation du merchandising, et autres identification de zones chaudes / zones froides. 

Elles sont destinées à tracer géographiquement le shopper, la « balise émettrice »

Mais ce ce genre de technologie n’est pas souvent activé sur le smartphone du client. Et  encore faut il que celui ci soit connecté avec la bonne techno.

Carrefour à imaginé une chose plus simple  : ce sont les caddyes et paniers qui servent de balises émettrices blue tooth e-beacon (une technologie privilégiée par Apple) et qui permettent de tracer le client, les flux en magasin, ses temps de confrontation aux rayons, les saturation des files d’attentes, et d’optimiser les zones chaudes ou froide du magasin.

 Les capteurs récepteurs de signaux émis par les caddies et paniers sont disposés dans les structures supérieures du plafond. C’est plus simple, facile et optimum que les statistiques pouvant être issues des smartphones, et surtout les caddies et les paniers constituent 100% de la population circulant dans le magasin. Une aubaine. 

Même si Carrefour à comme ambition de l’intégrer à terme dans ses applis  »cartes de fid dématérialisée » clients, je pense que les objectifs ne sont pas tout a fait les mêmes. La technique décrite ici étant purement  »opérationnelle merchandising », la deuxième par  »applis smartphone » et par la possibilité de personnaliser les données collectées et envoi de message en push me semblant plus relationnelle et promotionnelle.

L’alliance Auchan/Système U va être examinée « en profondeur » par l’Autorité de la concurrence

L’Autorité de la concurrence a annoncé ce 24 mai que la fusion de fait entre Auchan et Système U nécessitait un examen approfondi. Cette « consultation élargie des acteurs du marché » va notamment se pencher sur la pression concurrentielle exercée par les drives. Elle devrait être effectuée dans un délai de 65 jours, au terme duquel les contours de l’opération devraient être plus clairs.

Le rapprochement entre Auchan et Système U se précise, mais va être analysé à la loupe. Notifié le 30 décembre 2015 à l’Autorité de la concurrence et déclaré complet le 7 avril dernier, ce projet de fusion va subir un examen approfondi dès ce jour. Cette procédure lourde, qualifiée de phase 2, a été décidé par l’Autorité « à la suite d’une première consultation des acteurs du marché » et compte tenu de effets d’une telle fusion « tant sur les marchés amont de l’approvisionnement en produits de consommation courante qu’à l’aval au stade de la distribution » a précisé l’institution.
Les drives passés au crible

Lors de cet examen approfondi, qui s’effectue en principe dans un délai de 65 jours, l’Autorité va procéder à une consultation élargie des acteurs du marché (fournisseurs, enseignes de la distribution…) afin d’étudier les conditions de la concurrence dans les zones géographiques ou les deux enseignes concernées sont présentes simultanément.

Point important, l’Autorité a prévu, entre autres, de se pencher sur « la question de la pression concurrentielle exercée par les drives sur les autres magasins et la manière de prendre en compte ces points de vente dans l’analyse des effets de l’opération ». Auchan compte un peu plus d’une centaine de drive en France, alors que l’on en recense plus de 600 chez Système U.
L’Autorité étudiera également la possibilité de retenir des magasins situés hors des frontières nationales dans les zones locales frontalières concernées par l’opération. Cette phase 2 « permettra en outre d’identifier les conséquences de cette fusion pour les fournisseurs communs aux deux groupes, notamment les fournisseurs appartenant à des catégories qui étaient jusqu’alors exclues du mandat d’achat commun conclu par Auchan et Système U en 2014 » indique le communiqué de presse.
La nouvelle alliance aura le même poids que Carrefour et Leclerc

Le rapprochement entre Système U et Auchan, dévoilé en septembre 2014 par LSA, a d’abord porté sur une alliance aux achats en France pour les marques nationales et internationales. Il a ensuite été étendu à l’informatique et à la logistique, et prévoit également des échanges d’enseignes, les hypermarchés U étant incités à basculer sous enseigne Auchan, alors que les supermarchés Simply Market doivent faire le chemin inverse, en devenant des Super U.
Cette « fusion de fait » comme l’a qualifié l’Autorité de la concurrence, devrait permettre au nouvel ensemble de peser plus de 21% de parts de marché de la grande distribution en France, quasiment au même niveau que le groupe Carrefour, et juste devant le groupement E.Leclerc.

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Mcdo lance des burgers vert et rouge…

Après des sandwiches noirs ou gris, McDonald’s a décidé de commercialiser des burgers verts et rouges en Chine – et à Singapour. Les couleurs des pains ont été choisies en référence aux oiseaux d’Angry Birds. Un jeu pour smartphones qui vient d’être adapté au cinéma – le film est sorti le 11 mai dernier en France.

Le burger vert ou « The Naughty Green Pork Burger » contient du porc, un œuf, de la laitue et une sauce au jalapeño (un piment vert). Si la recette peut paraître alléchante, le burger ressemble plus ou moins à un macaron à la pistache.


De son côté, le « Super Red Burger » est constitué de poulet mais aussi d’un œuf, de laitue, de tomates et d’une mayonnaise.


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Neopost Shipping va installer ses casiers automatisés au Japon

La filiale du groupe Neopost a annoncé le 19 mai 2015, la création de la co-entreprise Packcity Japon, en partenariat avec Yamato Transport. L’objectif est de déployer un réseau de consignes automatiques dans les stations de métro tokyoïtes à partir de juin 2016. 

Japon, 20% des livraisons à domicile échouent, d’après les statistiques du ministère du territoire, des infrastructures et du transport. Pour améliorer la qualité de service, Yamato Transport, le leader japonais du transport a annoncé le 19 mai 2016, s’être associé à Neopost Shipping, une filiale du groupe Neopost. Les deux partenaires ont décidé de créer Packcity Japon, une co-entreprise détenue à 51% par Neopost et à 49% par Yamato Transport. L’objectif de cette joint-venture est de déployer un réseau ouvert de consignes automatiques et sécurisées pour la livraison de colis, dans le métro tokyoïte à partir de juin 2016. D’ici 2022, Packcity Japon vise les 5 000 consignes.
Un environnement favorable

La solution des consignes automatiques, où chacun récupère son colis quand il le souhaite correspond bien aux besoins du consommateur japonais. Une première expérimentation fin 2015 sur 1 000 clients a permis de réduire le taux d’échec des livraisons de 2%. Les stations de métro de la capitale japonaise ont l’avantage de constituer un lieu de passage incontournable avec leurs boutiques et restaurants. 

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Jouet vidéo : Disney abandonne la partie

En marge de la publication de ses résultats trimestriels, moins bons que prévus, The Walt Disney Company a annoncé son retrait des jeux vidéo sur console, dont sa ligne de jouet-vidéo Disney Infinity.

Une bien mauvaise nouvelle pour les fans de Disney Infinity : lors de la présentation de ses résultats trimestriels, le 10 mai 2016, The Walt Disney Company a annoncé l’arrêt de cette franchise, lancée en 2013 sur le jouet-vidéo. Un créneau initié par les Skylanders d’Activision en 2011, également rejoint en 2014 par Nintendo avec ses Amiibo et en 2015 par Warner avec Lego Dimensions. 
Coûts élevés…

L’annonce de ce retrait surprise intervient alors que Disney a publié des résultats en croissance moindre qu’attendue pour le deuxième trimestre de son exercice avec un chiffre d’affaires en hausse de 4% à 12,9 milliards de dollars (pour un bénéfice net de 2,1 milliards de dollars, +2%). Bob Iger, Pdg du groupe américain, a également annoncé l’arrêt du développement et de l’édition en propre de jeux sur console et la fermeture de ses studios Avalanche Software, qui emploie quelque 300 salariés aux Etats-Unis. 
Ce virage stratégique vise à recentrer les activités de Disney sur la licence, en proposant ses héros et franchises à des éditeurs et développeurs extérieurs. Un changement justifié par « l’absence de croissance dans le marché du jouet-vidéo et les coûts de développement élevés », selon James Pitaro, président de la division produits de consommation et médias interactifs de Disney, cité dans un communiqué. 
… et concurrence accrue

De fait, si Activision a régné en maître sur le jouet-vidéo jusqu’à l’arrivée de Disney Infinity, deux nouveaux concurrents sont arrivés sur ce créneau avec l’arrivée des figurines NFC Amiibo de Nintendo, puis à l’automne 2015 de Lego Dimensions (Warner). Une multiplication de concurrents qui a certes dynamisé les ventes de ce segment (+29% en valeur et +31% en volume selon les chiffres GfK diffusés par le Syndicat des éditeurs de logiciels de loisirs) mais a compliqué les affaires de Disney. En revanche, le groupe poursuit ses efforts sur le jeu social et mobile, aujourd’hui en plein essor et moins coûteux à produire.
L’arrêt de Disney Infinity coûtera à Disney 147 millions d’euros, principalement en pertes sur les stocks de figurines déjà produites. Et si, sur la page Facebook de la gamme comme sur son site dédié, les fans s’affolent de cette fin de partie brutale, certains revendeurs commenceraient déjà à brader les figurines bientôt collectors pour des prix avoisinant 6€ contre plus de 14€ auparavant selon ActuGaming. Disney a maintenu la sortie des deux prochaines nouveautés de sa gamme Disney Infinity avec la sortie de deux ultimes gammes dédiées aux nouveaux long-métrages de Disney, Alice, de l’autre côté du miroir pour ce mois de mai et Le monde de Dory, en juin prochain.

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Wa ! la nouvelle appli de Carrefour pour payer ses courses uniquement avec son mobile

Carrefour développe avec son partenaire historique BNP Paribas une nouvelle application, nommée Wa !. Actuellement en test, la solution permettra à terme de payer ses courses en magasin ou sur Internet en utilisant simplement son mobile. Explications.

D’abord testée dans deux magasins pilotes, l’appli Wa ! passe à l’étape deux. L’étape deux, c’est-à-dire que cette solution pourra être utilisée par les clients d’une dizaine de magasins Carrefour situés en Ile-de-France, dans des hypers, des supermarchés mais aussi en proxi. Pour mettre sur pied cet outil, à l’essai en 2015, Carrefour s’est associé à BNP Paribas, un partenaire historique de
Couponing, programme fidélité et paiement réunis

A quoi servira cette solution ? Elle permettra au client, quelle que soit sa carte bancaire, de réaliser l’ensemble de son paiement avec son téléphone mobile. En ouvrant l’application, tout le programme de fidélité, les bons de réduction ainsi que les données pour payer en carte bleue sont réunis. Inutile, donc, de sortir le portefeuille.

« Une relation client plus aboutie »

L’objectif, à terme, est de pouvoir régler par ce biais dans l’ensemble du parc Carrefour et sur ses sites en ligne. L’application a été conçue dès l’origine pour étre ouverte aux start-up et enrichir l’offre de services. «Le commerce connecté ouvre le champ d’une nouvelle relation client plus aboutie en termes de personnalisation, de mobilité, de simplicité et d’accessibilité », assure le distributeur par la voie d’un communiqué de presse.

« Nous développons des services qui nous rapporchent de nos clients et leurs sont utiles.[…] Nous avons la volonté de créer une nouvelle expérience client qui associe les nouvelles technologies au plaisir et au lien social » avance encore Georges Plassat, P-DG de Carrefour.

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McDonald’s offre des frites en or à ses fans japonais

Quand un Français associe les mots « restaurant » et « japonais » dans la même phrase, il pense rarement à du fastfood. 

Après tout, nous avons tous entendu vanter les mérites de la cuisine traditionnelle nippone. Leur gastronomie s’appuie notamment sur la consommation de riz, de légumes et de poisson. Certaines recettes sont même à base d’algues… 

Résultat, la cuisine traditionnelle japonaise contient peu de viande rouge et peu de graisses. Ce n’est pas un hasard si les Japonais vivent plus longtemps. Mondialisation oblige, vous croiserez quand même des McDonald’s au Japon. Vous pourrez y goûter ces frites au chocolat inédites en Europe. 

Si la restauration rapide est présente au pays du Soleil levant, les affaires ne se portent pas très bien. 2014 et 2015 ont été marquées par plusieurs scandales sanitaires, qui ont écorné l’image de la marque dans l’archipel. McDo a perdu 34,7 milliards de yens soit 270 millions d’euros en 2015. « Sans aucun doute […] l’année la plus difficile dans notre histoire de 45 ans » d’après une déclaration à l’AFP de Sarah Casanova, présidente du groupe.

McDo n’a pas dit son dernier mot. La marque a fait de gros efforts pour adapter sa stratégie commerciale. Les menus sont désormais plus équilibrés, pour correspondre au goût japonais.

Comme avec les frites à l’ail près de San Francisco, McDo mise sur les produits locaux. La marque adapte aussi sa communication aux pratiques culturelles. Les Japonais passent des heures sur leur portable ? 

Du 18 mai au 7 juin, McDo organise un concours pour gagner des « frites en or ». Oui, vous avez bien lu. Cette récompense de 50 grammes à 18 carats vaut environ 1850€. De quoi encourager la créativité ! Le jeu a été baptisé Potatori, mélange entre l’anglais potatoes et le verbe japonais toru qui signifie « prendre ». D’après Dozodomo, le consommateur doit télécharger l’application McDo Japan pour tenter sa chance. 

Avec le mode caméra, un filtre qui montre une boîte de frites vides apparaît. Reste à la remplir avec quelque chose de jaune pour créer l’illusion d’une boîte pleine. Les participants envoient ensuite leur œuvre sur les réseaux sociaux avec le hashtag approprié… et ils ne manquent pas d’imagination. Ils sont fous, ces Japonais !

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IA : Amazon bascule son système de recommandation en open source

Amazon suit la tendance lancée par les autres géants de la high tech en plaçant son système de recommandation, bâti sur l’apprentissage profond, un domaine de l’intelligence artificielle, dans le champ de l’open source.

En matière d’intelligence artificielle, la tendance est à l’open source chez les géants de la high tech. Dans le sillage de Google, Facebook et Microsoft, Amazon vient de prendre la décision de basculer son système de recommandation DSSTNE en open source, sous licence Apache, afin que chacun puisse s’en emparer, l’exploiter et l’adapter à sa guise pour conduire ses propres projets.
Acronyme de Deep Scalable Sparse Tensor Network Engine, DSSTNE a été mis au point par le géant du commerce électronique pour améliorer son outil de suggestion qui affiche des produits selon l’historique de ses clients, qu’il s’agisse de produits achetés ou de pages qui ont été visitées. « Proposer les bonnes recommandations requiert des réseaux de neurones artificiels », écrit Amazon.
Putil de deep learning conçu par Amazon

DSSTNE fait appel à l’apprentissage profond (ou « deep learning »). Il s’agit d’une méthode en vogue depuis quelques années dans le secteur de l’intelligence artificielle. Appréciée par les géants du web, qui investissent massivement dedans, cette technique consiste à faire ingérer des quantités considérables de données à un ordinateur pour qu’il puisse ensuite travailler en autonomie sur un sujet.

« Nous publions DSSTNE en tant que logiciel open source de façon à ce que la promesse de l’apprentissage profond puisse s’étendre au-delà de la compréhension du langage, de la parole et de la reconnaissance de forme, à d’autres domaines comme la recherche en ligne et les recommandations », lit-on sur la page Github qui accueille le projet ; le code source est maintenant ouvert à tous gratuitement.


IA : Amazon bascule son système de recommandation en open source

Amazon suit la tendance lancée par les autres géants de la high tech en plaçant son système de recommandation, bâti sur l’apprentissage profond, un domaine de l’intelligence artificielle, dans le champ de l’open source.

« Nous espérons que les chercheurs du monde entier pourront collaborer en vue de l’améliorer. Et surtout, nous souhaitons que cela stimule l’innovation dans de nombreux domaines supplémentaires », poursuit la firme d’e-commerce, affirmant au passage que sa solution est plus efficace que celle de Google, TensorFlow, qui a été retenue par DeepMind pour ses futurs projets en IA.
Comme Google, Facebook et Microsoft, l’ouverture en open source de DSSTNE n’est pas tout à fait désintéressée. Dans la bataille que se livrent les géants de la high tech, le champ de l’intelligence artificielle est l’un des théâtres d’affrontement les plus critiques. C’est en effet là que se joue une bonne partie de l’avenir du secteur du numérique et des nouvelles technologies.
Le passage à l’open source, facette de l’affrontement des géants de la tech en matière d’IA

L’apprentissage profond et ses déclinaisons sont en train de profondément transformer le paysage de la recherche en IA et derrière l’apparente gentillesse de Google, Amazon, Facebook et Microsoft se joue une bataille pour imposer son outil auprès de la communauté des chercheurs, afin que celle-ci l’améliore et, par ricochet, serve à terme les intérêts de son concepteur pour qu’il améliore ses propres outils.
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Les filtres McDonald’s débarquent sur Snapchat

Snapchat n’en finit plus de proposer de nouveaux filtres. Récemment, le filtre Taco Bell, uniquement disponible aux Etats-Unis, était proposé sur le réseau social au petit fantôme. Face au succès considérable de ce filtre, McDonald’s ne pouvait que répliquer en créant son propre filtre.

La plateforme avait déjà proposé des filtres aux couleurs de McDonald’s pour les clients se trouvant dans les restaurants. Il s’agissait pour Snapchat de tester l’impact de ses filtres géolocalisés, que peu de marques ont réussi à obtenir. Cette fois, nul besoin d’être dans un fast food pour utiliser ce filtre! A l’image d’Oréo, les utilisateurs de Snapchat pourront désormais utiliser ce filtre et saliver devant la nourriture virtuelle qui leur est proposée. Un moyen redoutable pour attirer les jeunes. 
Pour cela, rien de plus simple. Il suffit d’ajouter le compte Snapchat McDonald’s Australie, qui publie également les meilleurs Snaps reçus dans sa Story.
Disponibles seulement en Australie, il faudra encore attendre avant de voir ces filtres arriver en France.
Snapchat n’en finit plus de proposer de nouveaux filtres. Récemment, le filtre Taco Bell, uniquement disponible aux Etats-Unis, était proposé sur le réseau social au petit fantôme. Face au succès considérable de ce filtre, McDonald’s ne pouvait que répliquer en créant son propre filtre.
La plateforme avait déjà proposé des filtres aux couleurs de McDonald’s pour les clients se trouvant dans les restaurants. Il s’agissait pour Snapchat de tester l’impact de ses filtres géolocalisés, que peu de marques ont réussi à obtenir. Cette fois, nul besoin d’être dans un fast food pour utiliser ce filtre! A l’image d’Oréo, les utilisateurs de Snapchat pourront désormais utiliser ce filtre et saliver devant la nourriture virtuelle qui leur est proposée. Un moyen redoutable pour attirer les jeunes. 
Pour cela, rien de plus simple. Il suffit d’ajouter le compte Snapchat McDonald’s Australie, qui publie également les meilleurs Snaps reçus dans sa Story.
Disponibles seulement en Australie, il faudra encore attendre avant de voir ces filtres arriver en France.

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Microsoft – SAP : les liens se resserrent entre cloud et mobilité

SAP approfondit son partenariat avec Microsoft dans le cloud (Azure), la mobilité (Intune) et le collaboratif (Office 365).

Cloud, mobilité et collaboratif : SAP aborde les trois aspects dans le cadre de l’extension de son partenariat avec Microsoft.
L’éditeur d’origine allemande inscrit cette annonce dans le cadre de sa grand-messe annuelle : le « Sapphire Now », dont la 28e édition se tient du 17 au 19 mai 2016 à Orlando (Floride).
Concernant la partie cloud, la technologie de base de données in-memory HANA sera bientôt exploitable sur Azure, avec des instances dont la capacité pourra être portée à 3 To de RAM.
Les travaux d’analytique pourront être répartis sur un maximum de 16 instances, avec jusqu’à 32 To de RAM. Coast (spécialiste de l’habillement), Nortek (domotique résidentielle) et Rockwell Automation (matériel électronique) ont testé le service en avant-première.
Sur le volet mobilité, les entreprises qui développent des applications avec le langage de conception SAP Fiori pourront, à compter du 3e trimestre 2016, y intégrer les capacités de gestion du MDM Microsoft Intune et bénéficier des mêmes options que pour les apps Office 365.
Des ouvertures

La suite bureautique s’ouvre par ailleurs à plusieurs services de l’écosystème SAP.
Illustration avec Concur : les utilisateurs verront apparaître des rappels et des recommandations de transport et d’hébergement en fonction des informations renseignées dans Outlook. Un bouton « Send to Concur » permettra d’envoyer des notes de frais directement depuis la messagerie électronique.
Les utilisateurs de Word et d’Excel pourront quant à eux collaborer sur des documents associés à SAP Ariba (solutions cloud au service du business BtoB). Et s’entretenir par Skype pour les opérations de rapprochement de factures.
Une passerelle se monte également avec Fieldglass (approvisionnement de services et gestion des ressources externes) : les administrateurs pourront approuver des plannings, des recrutements ou encore des offres d’emploi dans Outlook, via un add-in.
La liste est complétée par SuccessFactors. Lorsqu’un collaborateur est signalé dans le logiciel RH comme ayant pris sa journée, un message automatique d’absence est mis en place sur Outlook.
L’ensemble de ces intégrations devraient être finalisées au 3e trimestre. La disponibilité de HANA sur Azure interviendrait plus rapidement ; en l’occurrence, dans les trois prochains mois, à en croire VentureBeat.
Microsoft n’est pas le seul partenaire cloud de SAP. Le premier éditeur européen est d’ailleurs revenu, en amont du Sapphire Now 2016, sur ses relations avec Amazon Web Services, en citant des clients comme General Electric (sur Hybris et SAP BI) et Lionsgate (sur Business Suite et Business Warehouse).

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